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Le champ des morts autour de l'église en granit a été concédé aux vivants.
Les vieux arbres offrent leur ombre aux jeunes mères avec leurs landeaux.
Je suis assis sur le banc et, invisible, près de moi, est assis le ressuscité. Il me prête son nom pour le temps où je peux encore me souvenir de lui.
Der Gottesacker um die Feldsteinkirche ist aufgelassen für die Lebenden. Die alten Bäume spenden ihren Schatten den jungen Müttern mit dem Kinderwagen.
Ich sitze auf der Bank, und unsichtbar
sitzt neben mir der Auferstandene. Er leiht mir seinen Namen für die Zeit,
da ich mich noch an ihn erinnern kann.
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